Je m'appelle Mélissa, j'ai 22 ans, je me considère coiffeuse en salon à paris sur au pas de course trois ans. Entre les clientes, les horaires décalés et la embêtement des jours debout, j'ai rarement de l'avenir pour un individu. Pourtant, on peut trouver huit ou 9 mois, j'ai traversé un instant réellement bizarre. Je venais de me discerner de mon copain à la suite deux ans de les liens, je me posais des arguments sur mon avenir job, et je me sentais un doigt perdue. Une copain m’a parlé de la voyance à riom. Au début, j’ai rigolé. Pour moi, c’était un truc de vieux films, les cartes et tout le fantaisie. Mais plus elle m’en parlait, plus ça m’intriguait. Elle m’a suggéré qu’elle avait consulté un voyant sérieuse dans le espace, qui l’avait aidée à prendre une décision importante. tout bonnement, je n’avais rien à consumer. Un samedi après-midi, je me considère tombée sur un devin qui consultait en cabinet, pas loin du centre-ville. Elle avait des avis positifs en ligne, dans ce cas j’ai pris rencontre, sans infiniment nous guider à quoi m’attendre.

Je suis Camille, j’ai 22 ans, je travaille par exemple coiffeuse dans une petite galerie d'achat à chappes. En général, je me vois souriante, j’aime papoter avec les clientes, combiner des explications, parler de tout et de rien. Mais il existe eu un évènement, pas si lointaine, où je me sentais royalement dépassée. J’avais l’impression de subir tout ce qu’il faudrait dans ma date, mais rien ne bougeait. J’avais des doutes sur mon couple, j’avais en plus envie de se voyance olivier transformer de salon, d’évoluer, mais j’avais peur. Je ne savais plus desquelles dire. Mes parents me disaient de ne pas me précipiter, les autres ne comprenaient relativement ce que je ressentais. Et une occasion, en scrollant sur mon téléphone, je me vois tombée sur un post Instagram qui parlait de voyance à la ciotat. C’était une homme comme par exemple une personne, qui racontait qu’elle avait trouvé des réponses par le fait de un magicien locale. Ça m’a donné envie de tenter. J’ai cherché un doigt, j’ai lu des avis, et je suis tombée sur une consultante qui proposait des réunion virtuelles et en cabinet. Je me suis lancée.